[Mise à jour février 2009 : le parquet fait appel. Votre soutien est, plus que jamais, nécessaire.]
Le mardi 1er juillet 2008, au nom du GANVA, groupe d’actions non violentes antinucléaires, une douzaine de militants avaient bloqué un train de déchets nucléaires en provenance d’Italie et à destination de La Hague (Cotentin) pendant 6 heures.
Quatre d’entre eux avaient comparu devant le tribunal correctionnel de Caen le mercredi 7 janvier 2009 pour ″présence sur les voies, dégradation et entrave à la circulation″.
Le parquet avait requis 4 mois d’emprisonnement avec sursis pour chacun des militants. La SNCF réclamait 11.000 euros de dommages et intérêts.
Le tribunal de Caen a rendu, le mercredi 28 janvier 2009, un verdict mesuré en condamnant les quatre militants à 2500 euros d’amende dont 2000 avec sursis et au paiement de 7500 euros de dommages et intérêts à la SNCF.
Le GANVA se félicite que l’ensemble de cette action ait permis d’informer et sensibiliser les populations et suscite le débat, notamment au sein du conseil municipal de Caen, sur le trafic régulier des déchets hautement radioactifs.
Nous souhaitons que ce débat soit repris le plus largement possible.
Le mardi 1er juillet 2008, au nom du GANVA, groupe d’actions non violentes antinucléaires, une douzaine de militants avaient bloqué un train de déchets nucléaires en provenance d’Italie et à destination de La Hague (Cotentin) pendant 6 heures.
Quatre d’entre eux avaient comparu devant le tribunal correctionnel de Caen le mercredi 7 janvier 2009 pour ″présence sur les voies, dégradation et entrave à la circulation″.
Le parquet avait requis 4 mois d’emprisonnement avec sursis pour chacun des militants. La SNCF réclamait 11.000 euros de dommages et intérêts.
Le tribunal de Caen a rendu, le mercredi 28 janvier 2009, un verdict mesuré en condamnant les quatre militants à 2500 euros d’amende dont 2000 avec sursis et au paiement de 7500 euros de dommages et intérêts à la SNCF.
Le GANVA se félicite que l’ensemble de cette action ait permis d’informer et sensibiliser les populations et suscite le débat, notamment au sein du conseil municipal de Caen, sur le trafic régulier des déchets hautement radioactifs.
Nous souhaitons que ce débat soit repris le plus largement possible.
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